Les leçons de la crise économique selon l'Union Européenne et selon moi

Le crash boursier de 1929 : le black friday

Leçon économique depuis la crise de 2008 :

LE CONTRAT SOCIAL ET LA CONSTRUCTION DES RAPPORTS ET INTERDITS SOCIAUX

La logique financière est au bord du gouffre en septembre 2009 :

La plupart des journalistes et des chroniqueurs anticipent les faits par souci professionnel mais sont-ils mieux placés que les économistes pour relater les impacts systémiques des taxes de carbones remplaçant les taxes sur le carburant comme revenus ministériels, dans la plupart des pays constitutionnalisés ?

Selon ma perspective personnelle, l'environnement, la,Économie, la finance et la société sont toutes quatre indispensables à une réflexion nourrie permettant de capitaliser des réformes juridiques en temps de crise sociale, économique, financière. Qu'en est-il des revendications et des solutions apportées par la mise à jour des réformes d'aujourd'hui ? Peut-on parler de décision pluridisciplinaires ? Voyons le cas de la politique à adopter dans le conflit syrien que les forces gouvernementales vivent avec les forces rebelles ainsi que l'État islamique. Comment apporter une solution politique conciliant tous les intérêts ? Est-il possible de parler de démocratisation dans un processus de réforme juridico-politique pluridisciplinaire ? La démocratisation d'un espace de guerre civile est impossible sans l'aide de l'extérieur. Mais qui remportera la palme de la libéralisation des différents fronts politiques, juridiques, légaux et économiques alors que plusieurs groupuscules se sont formés et que d'autres se sont agglomérés ? Serait-il possible en terminant que cette agglomération du conflit soit la représentation dernière de tous les conflits sociaux et économiques, politiques et militaires que nous avons connu depuis ce fameux bogue de l'an 2000 et de tous ces impairs austères que nous avons avalés par la mention de passage informatisé de 1999 à 2000 pour une pauvre petite boîte binaire de contrôle informatique : l'ordinateur, mais sur le plan macrocosmique bien entendu.

Or si nous avons misé sur le bogue pour décrire le potentiel des années post 2000, que d emieux que de concentrer nos efforts sur la résolution à engagée dans l'embrasement créé de toutes parts par cette vigile étatique de contrôle absolu émanant non pas d ela société civile ni des rangs politiques, mais bien des formes les plus marinales du pouvoir des milieux urbains occidentaux selon moi.

Bref, si l'on vote pour le bug et les problèmes reliés à la réingénérie des processus pour pallier aux formes de crises associées aux rendments zéro de la concurrence politique financière, pourquoi ne pas organiser des élections ou pas avec ou sans l'actuel président de la Syrie ? Mais là est bien le problème. Voyons-le de manière systématisée :

Organiser des élections avec Bachar al-Assad

Organiser des élections sans Bachar al-Assad

Apporter une réforme politique extérieure favorisant al-Assad

Maintenir un contrôle militaire et adopter une solution de réforme intérieure

Pour organiser des élections, le problème que l'on se voit considérer est plus grand que celui de l'éligibilité de l'actuel président syrien puisqu'il consiste à faire appel à l apopulation. Pour organiser des élections visant au rétablissement du pouvoir politique, il faut que cessent les conflits d'abord mais ensuite, si les habitants désireraient élire à nouveau l'actuel président serait bien de l'essor politique en question, soit qu'en toute démocratie il serait possible d'organiser des élections avec l'actuel président syrien, Monsieur Bachar al-Assad j'en conviens. Or, son implication au travers le régime et la dissociation du régime et des groupes rebelles, ainsi que d'autres groupes d'influence tel que le Hezbollan est aussi à considérer dans la démocratisation du pays. Une résolution visant chacun des gruopes et leurs afectations démocratique au plan de l'appareil civil politique, militaire, économique et sanitaire est à considérer de prime à bord.

Ensuite, reste à savoir si l'application de mesures politiques de redressment ou d'autres actions militaires sont en question, et la part d'affectation des services rendus dans cette résolution, dans cette réalisation ne serait plus à faire qu'à résoudre la crise depuis une extrémité du pays à l'autre. Le peuple syrien pourra décider, mise à l'essai conditionnelle est celle de la démocratie pluridisciplinaire mais pour une solution au conflit tout devrait être possible du moins en théorie.

Et puis ensuite ce sera au peuple de décider, mais ainsi un p^lan cocnerté de la coalition internationale et de la Communauté internationale serait nécessaire pour créer les conditions les plus favorables à la paix avec mesures de redressement des groupes et familles et sécurité d'emploi minimum garatie qqch.... bon !

Mais qu'en est-il de l'aspect financier de la problématique ? En voici une esquisse de base, tracée par l'exemple bien que peu connu du Bitcoin :